Les Malades de l’Imaginaire reçoivent le Kremlimpro

Mission kamikaze pour les Malades de l’Imaginaire ce mois-ci.
Face au Kremlimpro, la seule solution pour empocher la victoire, faire appel à un nouveau coach à l’entrainement particulier !

Saura-t-il faire ses preuves ? Sera-t-il reconduit sur les prochaines rencontres ?
Découvrez en exclusivité son interview !

Ce mois-ci, notre folle épidémie imaginaire voyage loin ! C’est aux confins de l’Europe qu’elle a vogué pour s’arrêter sur les bords de la Neva… Vodka, chapka et chocolat ?

Qui peut le dire ? Car, ce sont les Kremlimpro qui nous ont rejoint dans notre patinoire ! Bien que leurs nez soient souvent rougis par le froid, nous disent-ils (nous penchons d’avantage pour l’usage régulier d’alcool de patates !), eux n’ont pas eu froid aux yeux et ont donc relevé le défi que nous leur avons lancé : venir défendre leur victoire acquise ici même en 2012…

Retour sur ce match du 7 décembre très haut en couleurs, achevée par la victoire d’un point des Kremlimpro : bravo à eux !! (Toute ressemblance avec des thèmes donnés dans la soirée… n’est pas fortuite !)

A une heure de pointe, ce samedi qui est pour nous un peu comme le 0 du mois, vous avez pu nous voir entrer dans la patinoire par les deux bouts. Nous n’avons pas fait de barres parallèles mais jouer devant vous, c’est toujours un plongeon. Sans faire de zèle extrême, sans évacuation d’urgence d’un joueur, nous avons tenté de partager notre plaisir d’humour.
Vivement la prochaine fois, car c’est clair et net : l’impro, ce n’est pas gravé dans le marbre !

Les récompenses de cette soirée : félicitations !! 

  • Pour l’impro fil d’or : « Cupidité absolue », à la manière d’un mélodrame
  • 3èmes étoiles ex-aequo : Ysteban Aussal et Carole Bigot des Malades de l’Imaginaire
  • 2ème étoile : Mitch Morin des Kremlimpro
  • 1ère étoile : Carole Moisset des Kremlimpro

Enfin, retrouvez les meilleurs moments du match ci-dessous avec dans l’ordre :

  • « Heure de pointe », à la manière d’un film de cape et d’épée
  • « Cupidité absolue », à la manière d’un mélodrame
  • « Par les deux bouts », à la manière d’un stand-up
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